∞ NOM : Abbot, un nom qui respire la puissance et force de nombreux vassaux à ployer le genou. ∞ PRÉNOM : Jaime qui était en fait le prénom d'un sorcier que son père appréciait tout particulièrement à l'époque où son fils naquit.  ∞ AGE : 29 ans, le jeune Lord est en âge de se marier depuis longtemps et l'on commence à parler, heureusement il est désormais fiancé ainsi les choses devraient aller plus vite désormais. ∞ CAPACITÉ MAGIQUE : Il n'en a aucune. ∞ MÉTIER : Lord de la maison Abbot et héritier des terres de son père. ∞ STATUT : fiancé à Ashara Potter, une lionne qu'il a convoité et courtisé des années durant. ∞ NATURE DU SANG : pur. ∞ BAGUETTE : ici  ∞ ALLÉGEANCE : aux Abbot, à lui-même. ∞ EPOUVANTARD : ici  ∞ PATRONUS : ici  ∞ GROUPE : ici

Merci de bien vouloir répondre à chaque question en un minimum de quatre/cinq lignes. Une phrase ne suffira pas à exprimer la pensée de votre personnage. Essayez d'être le plus précis possible dans les réponses que vous donnerez. (Ce message est à effacer après lecture)
∞ QUE PENSES-TU DES RELIQUES DE LA MORT ? : répondre ici ∞ RECHERCHES-TU UNE RELIQUE EN PARTICULIER ? ET POURQUOI ? : répondre ici ∞ DE QUELLE FAMILLE SUZERAINE DÉPENDS-TU ? : répondre ici ∞ QUEL EST TON AVIS SUR CETTE FAMILLE ? : répondre ici ∞ AS-TU ÉTUDIÉ A HOGWARTS ? : répondre ici ∞ APRÈS LA DERNIÈRE ATTAQUE ET LA MORT D'UNE DOUZAINE DE NÉS-MOLDUS, QUEL EST TON AVIS SUR LE STATUT DU SANG ? : répondre ici

∞ pseudo/prénom : ici ∞ âge : ici  ∞ pays : ici ∞ comment as-tu découvert le forum ? : ici ∞ que penses-tu de totb ? : ici ∞ ton avatar : ici ∞ personnage : inventé/prédéfini/scénario.  ∞ un dernier mot ? : ici.

Un bruit de fer qui frappe sur un autre retentit dans la cour du château. Le garçon était plus rusé qu’il ne le paraissant et tandis qu’il luttait contre l’épée de son cousin il lança son pied qui partit dans l’estomac de l’autre garçon. Les épées se séparèrent alors et Jaime lança un grand rire en tendant la main à son cousin qui avait l’air renfrogné. Mais lui aussi était rusé et quand il attrapa la main de Jaime il tira vers lui si bien que le jeune sorcier finit la tête la première dans la boue. Ce fut au tour du cousin de Jaime de rire, il se releva et n’attendit pas que Jaime se relève pour prendre la fuite. « Je vais t’avoir ! » Lança le jeune seigneur alors qu’il courait après son cousin mais son père l’arrêta d’un geste de la main alors qu’il venait de pénétrer dans l’enceinte de la cour. « Jaime. » Fit-il avec un sourire en lui tendant un parchemin roulé. Il avait dix-sept ans et savait ce que ça signifiait a un mois de la rentrée scolaire. Poudlard. Souriant il attrapa la lettre que son père lui tendait et la déroula d’un geste pour la lire. « Quand dois-je partir ? » Fit-il en ne levant même pas les yeux de la lettre. « Dans deux jours, l’Ecosse est lointaine mon fils. » Jaime hocha la tête et releva la tête vers son père. « Mais avant, j’ai a te parler. » Il tendit la main vers son fils et la posa sur son épaule pour l’inciter à s’approcher, ensuite ils marchèrent ensemble vers les jardins où ils étaient surs d’être seuls. « Ecoute moi, je ne veux pas t’obliger à te marier avec une sang-pur qui ne sera pas à ton goût. A Poudlard tu trouveras des jeunes filles de ton âge. Ne tombe pas amoureux d’une fille inférieure à ton rang s’il te plait, évitons ça. » Jaime fronça les sourcils, il n’avait rien contre les autres statuts du sang même si il avait du mal a comprendre que des enfants né de moldus aient de réels pouvoirs magiques. Ils ne les haïssaient pas pour autant. « Père, je sais quel est mon devoir, ne vous inquiétez pas. » Son père lui donna alors une petite tape affectueuse sur l’épaule avant de s’éloigner en direction du château. Jamie resta un moment seul au milieu des jardins avant de se diriger vers le château pour y prendre un bain et faire laver sa tunique.

Quelques semaines après être partit de chez lui Jaime arriva à Poudlard. Il arrêta son cheval un instant en admirant l’imposante bâtisse. « Lord Abbot, nous devons continuer si vous ne voulez pas arriver en retard au banquet. » Jaime tourna la tête vers l’un des chevaliers que son père avait envoyé pour l’escorter, il hocha la tête et talonna son cheval pour qu’il avance vers le château. C’était magnifique, Jaime pensa même un instant que le château était plus beau que celui des Abbot mais plus encore il fut impressionné en entrant dans la Grande Salle qui était bondée de monde. Des sorciers de tous les pays s’étaient rassemblés ici pour apprendre la magie en tout sécurité. Jaime n’avait aucun mal a faire la différence entre les né moldus et les autres, ceux-là avaient l’air plus misérables et impressionnés que ceux qui avaient des parents moldus. Certains portaient de véritables loques mais avaient tout de même l’air ravis d’être présents et Jaime pensa qu’ils avaient été bien courageux pour venir jusqu’ici, surement à pied. « Abbot, Jaime ! » Il était le premier à être appellé pour la repartition et ne s’y était pas attendu. D’un pas décide il traversa la foule pour venir s’asseoir sur le tabouret qui se trouvait face à lui. Une vieille femme posa le choipeau sur sa tête et à peine fut-il posé qu’une voix tonna « RAVENCLAW ! » Un sourire satisfait se dessina sur les lèvres du jeune homme qui se leva et alla rejoindre les disciples de son ancêtre.

Dans la noble maison des Gryffindor étudiait une jeune femme que Jaime ne se lassait pas d’admirer au détour d’une étagère de la bibliothèque. Ses longs cheveux bruns étaient souvent lâchés dans son dos et il aimait la façon dont elle les ramenait sur le coté lorsqu’elle lisait un livre. Elle avait attisé son intérêt et l’entretenait sans même le savoir. Ils se connaissaient pourtant, leurs deux maisons étaient amies depuis la création de cette école. C’était une lionne et il était un aigle, descendants de deux des plus grands sorciers de leur temps. « Jaime ? » Il ne répondit pas tout de suite, descendant lentement le regard vers le parchemin qu’il était censé lire avec la plus grande attention. « Jaime, tu m’entends ? » Il fit alors semblant de sortir de sa grande concentration et reposa le regard sur Ashara. « Oui ? » Fit-il en souriant. La jeune femme lui fourra son livre sous le nez et il du écarter précipitamment son parchemin pour qu’elle ne l’abime pas. « Je ne comprends pas bien ce que Helga a voulu dire par là. Tu vois, sur les sortilèges… »  Elle lisait un livre écrit par Helga Hufflepuf, l’une des fondatrices de l’école. Jaime fronça les sourcils. « Oh, ce n’est pas compliqué mais tu comprendra mieux si tu prends ta baguette. On peut s’entrainer si tu veux, mais pas ici, Miss Vance nous jetterait dehors. » Il sourit, amusé. Ashara était de trois ans sa cadette, ainsi elle débutait seulement quand lui était arrivé à la fin de ses études et, comme il l’avait promit à son père, il ne s’était pas éprit d’une femme au rang inférieur au sien, à vrai dire alors qu’il aurait probablement du épouser une fille d’une des famille vassales à sa maison il s’était éprit d’une jeune Potter.

Les grandes portes de la salle des audiences s’ouvrirent devant Jaime alors que le sorcier s’avançait vers elles. Les gardes les avaient ouvertes d’un coup de baguette magique et les portes se refermèrent de la même manière derrière lui. Les mains croisées dans le dos le sorcier s’avança vers son père installé dans un large siège devant une longue table, il travaillait sur une énième affaire de politique et avait convié Jaime a venir l’assister car bientôt ce serait lui qui ferait ce travail. « Père. » Fit Jamie avec un sourire en coin, l’homme leva les yeux et posa son regard sur celui de son fils avant de lui rendre son sourire bienveillant. « Jaime, vient donc ici, j’ai une affaire qui requiert toute ton attention. » Le patriarche Abbot désigna la chaise qui se trouvait à ses cotés et Jaime s’approcha pour s’y installer. « Quelle est cette affaire, père ? » Demanda Jaime en fronçant les sourcils, le sorcier lança un regard furtif aux papiers mais n’arrivait pas à lire de la où il se trouvait alors il reposa le regard sur son père. « Le temps passe mon garçon et nous rattrape tous. Un jour, tu seras suzerain à ma place… » Jaime n’aimait pas tellement quand son père commençait à parler de son héritage car cela signifiait la mort de l’homme qu’il admirait plus que quiconque. « Avant que cela n’arrive je veux que tu aies une femme et, pourquoi pas, un héritier. » Le jeune sorcier se doutait que son tour viendrait plus tôt que tard, il hocha la tête d’un air plus grave qu’il ne l’aurait voulu. « Pourquoi cet air déprimé, mon fils ? Je ne t’imposerai aucune femme mais elle doit être de sang-pur et noble, c’est important. Nos maisons vassales… » « Non. » Fit Jaime, doucement, il n’aurait pas du interrompre son père mais aucunes filles des maisons vassales ne l’intéressait. Il voulait épouser une femme qui apporterait par cette alliance la gloire à sa maison. Le souvenir d’Ashara s’imposa à lui. « Père, nous sommes amis avec les Potter depuis des générations, depuis Gryffindor et Ravenclaw eux-mêmes… » Jaime s’humecta les lèvres en regardant son père d’un air inquiet. Une alliance avec une autre famille suzeraine n’était pas à prendre à la légère mais étant l’homme de cette alliance elle lui serait surtout bénéfique à lui, aux Abbot. « Je crois qu’Ashara Potter est libre de toute union. Permettez-moi de demander sa main à son père. » Elle refuserait aussi sec mais peut importe ce n’était pas à elle d’en décider, c’était à son parrain. Jaime était certain que Lord Potter n’opposerait pas une grande résistance à ce que Jaime épouse sa précieuse fille. « Accordé. Tu feras un bon suzerain mais j’espère que tu ne sacrifies pas ta vie par cette décision. Une femme loyale et aimante sera ton alliée la plus précieuse contre tous tes ennemies et détraqueurs. » Jaime hocha la tête, il comprenait ce que son père lui disait là mais il doutait pouvoir trouver une femme qui soutienne vraiment ses idées ou alors celle-ci devait être une Ollivander ou une Gaunt. Mais ce n’était pas la baguette ni la pierre que Jaime désirait ardemment, c’était la cape. Comme tous les membres de sa maison. « La maison Abbot obtiendra la cape père, je vous en fais le serment. » Fit-il en se levant, il inclina la tête en signe de respect et prit congé se son père.

« Jaime ! Père vient de m’annoncer tes prochaines fiançailles ! » Daella avançait d’un pas vif vers son frère qui s’était retourné en l’entendant l’appeler. Elle s’arrêta devant lui, les pans de ses manches encore agitée de cette marche rapide. « Tu sais ce que ça signifie, n’est-ce pas ? Maintenant qu’il en a finit avec moi… » Répondit Jamie en sondant le visage de sa sœur comme si il pouvait y découvrir ce qu’elle ressentait. « Je sais. Mais il t’écoute maintenant, enfin, il t’écoute plus qu’avant. Père m’a mise au courant du fait que c’était ton initiative. Les Potter, et bien, je ne te savais pas si ambitieux. » Jaime sourit. Il n’osa pas dire à sa sœur qu’il avait déjà une très nette idée de qui elle devait épouser ou du moins dans quelle famille il devait aller chercher son beau-frère car ces histoires là n’étaient pas les affaires des femmes, elles n’étaient là que pour servir de femmes et de mères bien que Jaime les respectait tout de même il savait où était la place de ses sœurs, de sa fiancée et des autres femmes. « La maison Abbot fleurira lorsque je serai suzerain et seigneurs de nos terres. » Fit-il en proposant d’un signe de la main de marcher un peu vers les jardins. Elle le suivit avec un sourire. « Je ne veux cependant ni guerres ni tueries. Tout est histoire de politique et le sang ne doit pas couler en politique sinon c’est qu’il y a eu un échec. » Daella était intelligente et son esprit était aussi affuté que celui de son frère, elle hocha la tête. « Aurais-tu l’ambition de faire de notre maison la détentrice d’une des reliques ? » Jaime passa ses doigts sous son menton, l’air songeur. « Non pas une, ma sœur, les trois. » Il sourit.