∞ NOM : avery, comme la famille vassale de la maison selwyn, dans les east-midlands. il appartient à la première lignée de cette famille. ∞ PRÉNOM : sandor et parfois, il laisse égarer un herwan, que sa mère préfère. aussi loin que remontent ses souvenirs, elle l'a toujours appelé ainsi. ∞ AGE : sandor est âgé de vingt-neuf ans. ∞ CAPACITÉ MAGIQUE : sandor est un sorcier virtuose, qui excelle toutefois plus en sortilèges que tout autre chose. toutefois, il n'a développé aucune capacité magique spécifique - même s'il a des prédispositions familiales énormes pour la légilimencie. ∞ MÉTIER : messire héritier de la maison avery, il a longuement voulu être dragonnier mais ce métier lui a été refusé par son père. il se contente donc d'être messire héritier, chevalier bien qu'il ne monte plus depuis des siècles, se contentant de bouquiner maussadement sur les dragons en attendant quelque évènement intéressant à sa vie. ∞ STATUT : veuf de la lady althéa de la maison lowe, des west-midlands. il est donc aujourd'hui célibataire et convoité. ∞ NATURE DU SANG : la question, si adressée en face du jeune homme, ne serait répondue que par une insulte ou un coup de poing : on ne doute pas de la nature du sang d'un avery. famille se targuant de sa pureté depuis quelques générations, elle entend bien que ça reste ainsi. ∞ BAGUETTE : d'excellent ouvrage, la baguette de sandor est faite en bois de cerisier, contient un ventricule gauche de dragon - un magyar à pointes - et mesure trente-trois centimètres virgule huit. rigide, elle rejoint son sorcier sur ce point. c'est une baguette puissante mais capricieuse, qui n'obéit pleinement qu'à son maître. ∞ ALLÉGEANCE : l'allégeance de sandor va à sa famille et, par extension, à la famille selwyn. ∞ EPOUVANTARD : l'épouvantard de sandor prend la forme d'un énorme basilic. ∞ PATRONUS : son patronus, lui, prend la forme d'un dragon, un norvégien à crête. ∞ GROUPE : baguette de sureau.

∞ QUE PENSES-TU DES RELIQUES DE LA MORT ? : le reliques de la mort sont, pour Sandor, quelque chose de fascinant. Une obsession, presque. Depuis qu'il en a entendu parler - c'est à dire depuis qu'il est tout jeune - il a tout rêvé d'en voir une, d'en posséder une. Il faut admettre que quand même, disparaître, être le sorcier le plus puissant de la terre ou faire revivre les morts, ça a du chien. Depuis qu'il est tout minot, donc, il a développé une fascination étrange pour les reliques, allant jusqu'à les convoiter aux familles à qui elles appartiennent et jusqu'à les traquer, les chercher partout. Avec le temps, cette obsession s'est calmée... enfin jusqu'à récemment. ∞ RECHERCHES-TU UNE RELIQUE EN PARTICULIER ? ET POURQUOI ? : il n'y a qu'une seule relique pour laquelle Sandor a une obsession des plus étranges, et c'est la pierre de résurrection. Longtemps, il a désiré trouver la baguette de sureau, pour devenir plus puissant que son père, les Malfoy et le reste du monde, afin de vivre sa vie comme il l'entendait ; mais depuis la mort de son épouse et la tristesse infinie de son fils, il a décidé de ramener la première à la vie grâce à la relique du second frère. Un rêve un peu fou, en sachant que la famille Gaunt - une famille suzeraine trop puissante à son goût - la possède. Mais c'est les rêves qui le font tenir debout et il ne désespère pas de trouver quelconque alliance à passer avec les Gaunt pour parvenir à ses fins. A bon entendeur. ∞ DE QUELLE FAMILLE SUZERAINE DÉPENDS-TU ? : la maison Avery dépend de la maison Selwyn des east-midlands, avec la maison Yaxley. Ces trois familles sont étonnament proches, alliées contre tout (et surtout la maison Malfoy) et s'entendent plus ou moins bien. Sandor apprécie grandement les Selwyn et les Yaxley et partage leurs envies de s'élever plus haut que sa condition, plus haut que les Malfoy, ayant lui aussi une ambition et une fierté très, très mal placées. ∞ QUEL EST TON AVIS SUR CETTE FAMILLE ? : d'après Sandor, les Selwyn sont dix mille fois mieux que les autres - par exemple, ces foutus Malfoy. Même s'ils ont leur lot de vices et de défauts, ils sont aussi de bons seigneurs respectueux et très... très semblables, en fait, à leurs maisons vassales. Il n'est pas rare de voir Avery et Selwyn manger la même chaire à la même table ; tout comme il n'a jamais été rare de voir ces deux familles se lier et se délier par des mariages et autres promesses. Suzerains et vassaux, certes - mais alliés avant tout. C'est une famille suzeraine comme ils en ont besoin, sympathique, pas trop invasive et ambitieuse - d'après Sandor, un tiercé gagnant. ∞ AS-TU ÉTUDIÉ A HOGWARTS ? : à l'aube de ses dix-sept ans, Sandor est effectivement allé à l'école de sorcellerie Poudlard. Ses études y ont été auréolées de succès, c'est là-bas qu'il s'est découvert sa passion de la dragonologie, des sortilèges et des livres. Envoyé à Serdaigle comme la plupart de sa famille, il était aussi préfet de sa maison, modèle austère et sévère pour les plus jeunes. Cette époque lui semblent remonter à des décennies auparavant mais il en garde un souvenir agréable. Il est resté très proche avec certains de ses camarades mais aussi avec son dragonnier de professeur, avec qui il entretient une relation épistolaire passionnante. ∞ APRÈS LA DERNIÈRE ATTAQUE ET LA MORT D'UNE DOUZAINE DE NÉS-MOLDUS, QUEL EST TON AVIS SUR LE STATUT DU SANG ? : à dire vrai, Sandor ne s'est jamais réellement posé la question. Tout est inscrit dans ses gênes, dans son sang. Les purs au pouvoirs, les mêlés en dessous et les sang-de-bourbe... et bien, encore en dessous. Il les méprise mais ne les attaque pas ; les juge mais ne leur crache pas dessus. Son avis sur la question est l'indifférence même.

∞ pseudo/prénom : sloth./lola ∞ âge : seize.  ∞ pays : france. ∞ comment as-tu découvert le forum ? : un corbac me l'a refilé.  ∞ que penses-tu de totb ? : très complet et très beau. ∞ ton avatar : bradley james. ∞ personnage : inventé. ∞ un dernier mot ? : je recherche une épouse pour faire joli, je suis beau et je me brosse les dents... des preneuses ?  

Ses cousins étaient vraiment des idiots. Sandor n'était pas un enfant très sociable, plutôt renfermé. Il préférait les livres aux épées et les mots compliqués aux insultes. Ses cousins étaient un peu plus sanguins, peut-être, plus violents et, comme ils le disaient si mal, virils. « Laissez moi lire. » Il avait beau être le plus âgé, le précieux Sandor Avery, fils aîné du seigneur son père, futur maître des terres Avery dans le Northamptonshire, intellectuel parmi les singes, fier de sa carrure épaisse malgré le fait qu'il ne se déplace rarement hors de la bibliothèque – pour autant, ses cousins ne pouvaient s'empêcher de l'embêter. Le plus âgé lui retira son livre des mains et Sandor leva enfin le regard vers lui. Il avait un regard froid et distant, d'un joli bleu et vert, qui vous transperçait de part et d'autre. Mais cela faisait bien longtemps que ses chers cousins y étaient immunisés. « Rendez moi mon livre. » dit-il d'une voix calme qui, pourtant, ne souffrait d'aucune réplique. Sandor était fait d'un bois si froid et si indifférent que certains avaient émis l'hypothèse absurde qu'il était né avec une tare, sans sentiment aucun. Et c'était vrai que parfois, on en avait l'impression. Ses traits restaient constamment comme taillés dans le marbre, ses sourires étaient rares et ses colères encore plus. Tout lui était acquis, pourquoi donc se serait-il embêté à faire des caprices ? Il était tout ce que son père désirait, à quoi bon se forcer à tordre ses lippes en rictus charismatiques ? Sandor le Bouquineur, voilà comment on l'appelait. A la bibliothèque plutôt que dans la cour avec une épée – toutefois, que son paternel lui demanda d'y aller se battre et qu'il le fit, sans rechigner. Mais jamais, ô grand jamais, il n’exauçait quelqu'un de différent que lord Avery. « Viens le chercher ! » lança presque joyeusement son cousin en s'enfuyant avec, avec sur les talons son cadet qui pouffait doucement. Sandor n'avait jamais eu de frère complice et pouffant sur les talons, juste une sœur, Aryanna. Une délicieuse sœur, évidemment, gentille, douée, polie et très conventionnelle. Mais une sœur tout de même. Tous ses frères avaient été emportés en bas âge, il y en avait eu trois. L'un à quelques mois, l'autre à deux ans et le dernier à l'âge précoce de cinq ans. On avait préféré ne pas nommer les deux premiers, de peur qu'un tel accident arrive ; mais celui de cinq ans s'appelait Eothain, Eothain Avery et il avait des cheveux blonds et des quenottes en moins et des yeux bleus comme son frère. Mais Eothain n'était plus là.

Il grogna mais se leva tout de même de mauvaise grâce, s'élançant sur les traces de ses cadets pour aller salement les corriger. Comme ils s'y attendaient, ils se retrouvèrent dans la cour du château Avery. Une chose que ses cousins adoraient : l'épée. Et surtout : le battre à l'épée. Car, à force de ne pas s'entraîner, il n'était évidemment pas le meilleur dans cette discipline. Ses appuis étaient hasardeux, ses coups de taille étaient prévisibles et sa main, peu sûre d'elle si bien qu'il lâchait ses lames émoussées les trois quarts du temps. Il en avait marre. Il avait marre de leurs têtes idiotes, de leurs gloussements de pucelle et de leurs putain de mimiques supérieures quand ils le battaient une énième fois en mêlée. Autant dire que Sandor était plutôt remonté quand le cadet des deux frères lui proposa de prendre une arme pour tenter de battre l'aîné. Une bien vaine tentative. Il le savait bien et pourtant, quand sa main se resserra autour de la poigne de son épée émoussée, il ne se sentit pas las, obligé ou en mauvaise posture. Au contraire. Il allait leur apprendre, à ces mioches. Il fit tournoyer son épée sans aisance, son poignet craquant avant qu'il ne se baisse légèrement sur ses jambes en enfonçant son regard dans celui de son vis-à-vis. La suite est l'histoire : on raconte que Sandor manqua de le tuer en s'acharnant. Il frappait pour faire mal et non plus pour s'amuser ou juste pour récupérer son bouquin. Il frappait, juste. C'était un enfant calme, érudit, posé. Il était sévère mais juste, doux mais ferme. Mais c'était aussi des braises. C'était des braises sur lesquelles on soufflait constamment, pour lui arracher une quelconque réaction ; et à chaque fois, on s'étonnait que les braises se transforment en énorme feu de joie violent et tapageur, destructeur. Sandor n'était pas homme à provoquer. Il ne l'avait jamais été et ses cousins en firent les frais à l'aube de leurs neuf ans. Depuis, plus jamais personne ne dérangea sa lecture.

∆∆∆

« Vous vous battez avec telle ardeur, messire... » « Et tout ça pour vous beaux yeux, ma dame. » Le tournoi annuel des east-midlands était un grand événement. Les familles Selwyn, Yaxley, Avery ainsi qu'une énorme quantité de maisons mêlées, de chevaliers, pauvres et autres se réunissaient près de Nottingham pour se taper dessus, échanger des ragots et se retrouver amicalement, éventuellement. Sandor Avery et Althéa Lowe formaient un couple adorable, un ménage plus au moins heureux même si aucun amour ne les avait rapproché et complice, en plus. Elle amenait toujours son époux à des joutes idiotes, trouvait toujours un prétexte pour lui sortir le nez de ses bouquins, n'avait de cesse de le taquiner pour le faire réagir. Elle était peut-être la seule personne au monde qui pouvait faire apparaître un sourire malicieux sur les lèvres de Sandor ou bien qui pouvait l'interrompre dans sa lecture sans s'attirer ses foudres. Il avait vingt-six ans et elle vingt-quatre, elle avait des lourdes boucles brunes et des yeux verts adorables que rehaussaient des tâches de son en quantité. Cela faisait dix ans qu'ils avaient échangé les mots sacrés et sept qu'Eothain, leur fils, s'était glissé entre eux. Même si on avait rarement fait un mariage plus arrangé que celui de Sandor et Althéa, ils n'en restaient pas moins des plus contents, surtout depuis que la frimousse blonde de leur fils avait fait irruption dans leur vie tranquille. Sandor laissa son écuyer lui retirer son armure, se laissant docilement faire tandis qu'on lui arrachait son bouclier de son bras et son épée cabossée des doigts. Cela fait des siècles depuis que le jeune Sandor le Bouquineur est maladroit avec une épée dans les mains ; devenu écuyer à treize ans, adoubé chevalier à seize, il ne loupe pas une seul tournoi annuel pour affronter à la joute et à la mêlée les autres chevaliers des environs. Parfois, il se laisse tenter par le tir à l'arc, mais toujours avec un sourire piteux au visage, sachant précisément qu'il va louper la cible. Il aime participer, entendre son fils crier son nom et voir les yeux de son épouse briller de fierté et de malice. Une fois qu'il est déshabillé de sa lourde plate et de sa cotte de maille, son fils lui saute dans les bras et il lui ébouriffe les cheveux en le repoussant avec douceur, un peu timide ou juste pudique peut-être. Son épouse, elle, s'approche d'un pas et arque un sourcil. « Vous n'avez pas gagné. » « Las, non. Pas cette année. L'an prochain, peut-être. Ser Mychel a trouvé ma faiblesse dans mon épaule gauche. » « C'est bien malheureux. » Il ne put s'empêcher de lui sourire lentement, légèrement. Timidement mais franchement. « Rentrons, voulez-vous ? Je crois que Pat nous a préparé un cochon de lait. » Eothain ne put s'empêcher de laisser échapper un cri de joie. « Vous m'apprendrez à manier l'épée, père ? Et la lance ? » « Tout ça à la fois mais pas maintenant. Soutiens plutôt ta mère. » Elle adressa un sourire désolé à ses deux hommes, ses deux Avery, ses deux blonds. Althéa est fragile, ses os se cassent comme des brindilles, ses poumons s'enrhument à la moindre brise. Après Eothain, personne ne sait si elle pourra avoir d'autres enfants. Les sortilèges, potions, remèdes n'y font rien : toujours reste-t-elle pâle et faiblarde, avec seulement ses époux et fils pour réconfort. Ils la maintiennent en vie. Mais pour combien de temps encore ?

∆∆∆

Cette année, Sandor n'est pas allé au tournoi. Cette année, il n'est allé à presque aucun mariage, n'a dansé avec personne, n'a jamais souri pour une raison idiote. Il a passé le plus clair de son temps dans ses livres, à écrire et à décrypter, analyser. Il part pour de longues promenades à cheval avec son fils, il lui apprend à faire tournoyer une masse et à se servir d'une épée mais il ne le fait jamais de bon cœur, jamais sur l'impulsion d'un élan d'affection. Eothain est toujours dans la cour à s'entraîner, aux armes ou aux sortilèges, à vouloir devenir plus fort et plus fort encore. Le château des Avery est triste, vide. Ils sont des gens austères, façonnés dans le plus impassible des marbres – et Althéa Lowe était une nuit de comètes, un concentré de rires et de joie qui résonnait dans les murs de l'endroit. Elle a été emportée à l'âge de vingt-six ans, par une nuit d'hiver, tandis que son fils lui tenait la main et que son époux remuait ciel et terre pour la sauver. Ca fait un an. Ca fait un an mais la blessure est toujours là. A la lueur d'une chandelle, il continue de lire, sans mot dire, quand des doigts délicatement frappés sur sa porte le font tressaillir. « Père ? » Son fils, évidemment. La journée a dû être dure pour lui et il n'a pas été là pour l'aider, le supporter, enfermé dans son univers de bouquins. Mais il ne peut pas. Il ne peut pas l'aider quand la tristesse lui étreint encore le cœur. « Eothain. Entre. » Le gamin fait lentement tourner la poignée puis s'avance. Père et fils sont deux copies conformes : des cheveux blonds aux couleurs du soleil, des pommettes qui ne feraient que s'affirmer pour le gamin, des mâchoires carrées et des yeux bleu-vert. Sandor lui tire une chaise à côté de lui et lui fait signe de s'asseoir – le fils s'exécute en silence, grimpant sur la chaise et regardant avec intérêt le titre du livre que son père lit. Des dragons. Encore. « Dis moi ce qui ne va pas. » Eothain se mord la lèvre, hésite. « Je pars en quête, père. » Puis, après avec lâché ce qu'il pense être une bombe, il enchaîne, très vite, de manière à ne pas être coupé : « je vais prendre le plus fort de nos étalons, Honneur, et parcourir les terres d'Angleterre pour trouver la Pierre de Résurrection des trois frères. Je ferai revenir mère et l'on ira au tournoi et vous rirez de nouveau. C'est... c'est mon devoir de le faire. Je ne supporte plus son absence, elle doit revenir désormais. Maintenant. » Il est convaincu. Sandor le regarde longuement dans les yeux, se demandant quand son fils est presque devenu homme fait, quand il est devenu si grand et quand il a cessé de se cacher derrière ses sourires et ses tâches de rousseur. « Ta mère ne reviendra pas, Eothain. Cela m'attriste énormément mais la vie est ainsi. Aucune relique ne pourra la ramener aussi belle et vivante que nous l'avons connue – mais nous pouvons chérir sa mémoire. » Il vit les yeux du gamins se remplir d'eau et avant d'avoir pu réagir, il sentit son fils se serrer contre lui, enfonçant son nez contre son épaule. « Je la veux de retour. » sanglota-t-il, tout contre la peau de son père, l’agrippant avec une force que Sandor ne lui connaissait pas. Lentement, maladroitement, ses bras se refermèrent autour de lui et il le serra, peu habitué à de telles effusions. Pouvait-il la ramener ? Ce n'était qu'une pierre, après tout.

Invité te voilà enfin validé ! L'étape de la présentation passée, il ne reste plus que quelques petits détails à faire avant de pouvoir pleinement profiter du forum. N'oublie pas de recenser ton avatar, au risque de le voir filer sous tes yeux! Les registres sont également important, alors il est préférable d'y faire un tour le plus vite possible Après avoir fait tout ça, il est temps de plonger dans l'ambiance du forum. Créer une fiche de liens pour élaborer des alliances et faire bouger l'histoire avec vos rps Amuse-toi bien parmi nous et te souhaitons une longue vie ici

Alors j'ai beaucoup aimé ton histoire, honnêtement  C'est très bien écrit, et puis la mort d'Althéa... Et puis l'envie de trouver cette pierre rend le tout plus touchant, encore plus quand ça vient du petit!