∞ NOM : A ses yeux, le patronyme n'est qu'une appellation parmi tant d'autres. Ce nom de famille ne fait pas toujours l'homme véridique que l'on retrouve devant soi. Pour autant, la jeune fille n'en reste pas moins plutôt fière de le porter. Abbott. Un nom que l'on reconnait plutôt bien au sein des terres, comme dans le pays. ∞ PRÉNOM : Calione. Bien entendu il est en va du choix de sa figure maternelle qui bercé par les grandes légendes et les histoires d'antan lui ont donnés le gout pour les noms forts et rêveurs à la fois. Il a pour signification : lumineuse. Un adjectif qui sciait plutôt bien à la jeune demoiselle. ∞ AGE :  En dépit de ses jeunes années - soit dix-neuf années - Calione est la dernière de la fratrie. Pour autant n'allait pas croire les apparences, elle est d'une sagesse et d'une rationalité qui pourrait vous surprendre. ∞ CAPACITÉ MAGIQUE : Calione est née sans aucune capacité magique hormis le fait d'être une sorcière sans grande surprise. ∞ MÉTIER : Dame de la maison Abbot mais avant élève à l'école de sorcellerie. Un statut qu'elle aime placer avant tout titre e noblesse, oui cela peut paraitre risible lorsqu'elle l'énonce. ∞ STATUT :  Dans l'insouciance de la jeunesse et d'avoir la perspective de liberté devant soi, la dernière de la famille est bien célibataire et sans aucune attache. Une position qui lui plait plus qu'à son tour. ∞ NATURE DU SANG : Calione est issue d'une ascendance pure, bien qu'elle se fiche éperdument de la nature du sang de son prochain. ∞ BAGUETTE :  L'outil principale du sorcier hormis sa connaissance. Taillée dans du bois d'érable pour souligner le savoir, la baguette de la brunette contient un crin de licorne et mesure trente centimètres. ∞ ALLÉGEANCE :  Son allégeance va bien évidemment aux membres de sa famille. Bien que dans le fond, elle possède un brin de liberté étant fidèle à des convictions qui lui sont propres mais ténues. ∞ EPOUVANTARD :  La forme de sa peur prend naissance dans la fuite de l'obscurité, l'élément qui réchauffe les cœurs et qui éclaire les chemins des âmes perdues soit le feu. Son épouvantard pour la forme d'un arbuste en feu. ∞ PATRONUS : Synonyme de liberté croissante, d'un respect envers son environnement mais également d'une connaissance rationnelle, le patronus de Calione prend la forme d'un lori bleu. ∞ GROUPE : La cape d'invisibilité.

∞ QUE PENSES-TU DES RELIQUES DE LA MORT ? :  Pourtant friandes aux nombreuses histoires qui ont sur animer son enfance, Calione n'en demeure pas moins que très peu intéresser par les Reliques de la Mort. Rien que les nommer, ne lui augure rien de bon. Bons comme mauvais, elle continue néanmoins de penser que si elles tombent entre de mauvaises mains, les conséquences pourraient être horribles et donc peu louables. Son esprit n'est guère attirer par ses instruments qui reviennent pour elle, à jouer avec le destin.  ∞ RECHERCHES-TU UNE RELIQUE EN PARTICULIER ? ET POURQUOI ? : Si on tend à penser que certains des membres de sa famille espère avoir entre leurs mains la fameuse et célèbre Cape d'invisibilité, et bien désolé de vous décevoir mais Calione n'en recherche aucun. Bien entendu, si elle devait choisir par la force de la question alors son choix premier et dernier se porterait sur la Cape d'Invisibilité. Non pas pour sa propre personne mais pour protéger les siens, ceux qui lui sont chers. Ni plus ni moins. ∞ DE QUELLE FAMILLE SUZERAINE DÉPENDS-TU ? : Etant de sang noble, la jeune fille ne dépend d'aucune famille si ce n'est la sienne. Cependant, elle reste très proches des familles vassales d'où sont issus la plupart de ses amis d'enfance d'ailleurs. Caione apprécie beaucoup leur compagnie et les respecte au même titre que ses propres frères et sœurs. Elle ne fait aucune distinction que cela soit par rapport au rang ou encore par la nature du sang. ∞ QUEL EST TON AVIS SUR CETTE FAMILLE ? : : Emettre un jugement sur les siens, sa propre famille ne serait guère dans les habitudes de Calione. Cependant, il faut avouer qu'elle très fière des dires qu'aborde le nom de son père et de tout les moyens que les Abbot mettent en avant surtout au niveau de l'enseignement mais également du comportement qu'elle met en pratique sur ses terres. La patience est parait-il une caractéristique de cette famille et avec Calione la racine prend de la continuité. ∞ AS-TU ÉTUDIÉ A HOGWARTS ? : A vrai dire, la jeune fille est encore en plein dedans. Un chemin d'étude qui ne cesse de la ravir, un univers où elle trouve sa place et qui ne semble guère la lasser bien au contraire. Actuellement en deuxième année, elle apprécie chaque jour passer au sein de l'école de magie.  ∞ APRÈS LA DERNIÈRE ATTAQUE ET LA MORT D'UNE DOUZAINE DE NÉS-MOLDUS, QUEL EST TON AVIS SUR LE STATUT DU SANG ? : Il demeure toujours le même à savoir qu'il y a du bon et du mauvais partout peu importe les origines et peu importe sa propre ascendance. Cependant, Calione émet de plus en plus de méfiace et de réserve à l'égard des pro sang-purs qui ne cessent pour certain de proclamer une supériorité qu'ils ne possèdent aucunement. Les temps deviennent à mesure du temps de plus en plus nébuleux.

∞ pseudo/prénom : blue bird. ou l'oisillon bleu come vous voulez. ∞ âge : celui des pierres    ∞ pays : la planète france. ∞ comment as-tu découvert le forum ? : les chemins de bazzart. ∞ que penses-tu de totb ? : suprbe ! ∞ ton avatar : amanda seyfried. ∞ personnage : inventé.  ∞ un dernier mot ? :  

between real memories and words of dreams ∞ Les gouttes de la pluie. Elles tombent une à une le long de l’écorce de l’arbre, cet arbre même où tu es actuellement adossée. L’air printanier demeure quelque peu frisquet pour la saison, mais les rayons du soleil qui passe au travers des feuillages du vieux chêne te réchauffent la peau. Cette peau de porcelaine que tu as héritée de ta mère, au même titre que tes sœurs ainées. Tes prunelles d’une teinte d’un bleu azuréen parcourent l’une des nombreuses lignes d’un manuscrit que tu ne cesses de relire depuis des années et des années. Jamais tu ne t’en lasses. Au travers du temps tu as su en découvrir une nouvelle facette et y faire naitre tes propres croyances, des croyances qui défient à chaque fois ton imagination à la fois rationnelle et illusoire. Bien entendu tu sais que tous ses mythes sont éphémères, mais dans la vérité c’est aussi cette imagination qui entretient cette notion d’espoir et de liberté qui t’anime. En y songeant tu esquisses un sourire timide et franc aux commissures de tes lèvres, juste avant de tourner une énième page de livre aussi vieux que Merlin lui-même. La connaissance des sortilèges et enchantements des premières années. Cet ouvrage d’étude ne t’appartenait guère, il appartenait à l’une de tes sœurs ainées qui contrairement à toi demeurait une élève à l’école de magie. Une position, une situation que tu avais hâte de retrouver à ton tour. Loin d’être au centre de l’attention ou encore de prêter attention à l’importance de la cour des membres de ta famille, tu appréciais tout simplement la liberté et la nature. Une véritable petite sauvageonne possédant un grand savoir que tu adorais découvrir par toi-même et tes expériences. Ta figure maternelle ne cessait de te répéter que tu étais comme le vent : imprévisible et tendre à la fois. Des mots redondants qui te rappelait le son de sa voix mélodieuse et harmonieuse, un son qui te rassurait vers un chemin de douceur. Tes cheveux légèrement ondulés flirtent avec la brise de saison, et deux petites hirondelles sifflotent à l’unisson chant musicalement agréable. Tes paupières se ferment au rythme de leur mélodie commune, berçant ainsi tes pensées agitées par le flot d’idées qui fusent au plus profond de ta conscience. Tu avais beau être une jeune demoiselle, du haut de tes treize années ta maturité d’esprit se révélait bien présente. Les Abbot étaient reconnus pour leurs grands et anciens savoir d’où la notion primaire des études qui avait toute son importance. « Callie ! Calione ! Par Merlin je te jure que si jamais je mets la main sur toi, le sort du maléfice du saucisson aura de quoi te faire rire ! ». Derechef, tes yeux s’ouvrent rapidement. La voix portée au travers des jardins des terres de ton enfance t’es aussi bien connu que le timbre de voix rocailleux de ton propre père. Il s’agissait de Daella – la première fille de la famille – et son intonation criait au mécontentement pour le livre que tu lui avais dérobée quelques heures plus tôt. Tu connaissais la colère – quelques fois – exagérée de ta sœur et les conséquences n’étaient pas toujours très jolies à voir. Fermant brusquement le manuscrit dont la reliure était faite en cuir, tu te redresses habilement  avant de monter sur les hauteurs des branches des arbres. Avec pertinence, tu savais combien Daella était peu friande de la hauteur. L’ouvrage était toujours coincé au creux de ton coude lorsque que ta poursuiveuse arriva au pied de ton arbre, l’expression du visage on ne peut plus rageuse. « Je t’avais dit de ne pas voler mes affaires, surtout les livres d’étude Calione ! Descend de là et rend moi mon livre ! ». Te dit-elle les poings serrés contre ses hanches. Tu te contentas de grimacer un instant avant de rebondir sur une réplique tout bonnement défensive. « Il n’est pas question dans ce vol puisque je te l’ai emprunté ! En plus tu ne t’en servais pas du tout, les livres ont chacun une utilité et celui-ci l’avait avec moi aujourd’hui. ». Déclares-tu posément avec calme, un sourire vainqueur accroché à ta bouille encore fort enfantine. Bien sûr cela ne fait qu’accentuer la colère naissante de Daella qui renouvelle sa demande sous menace de faire intervenir leur père. « On peut savoir ce qui vous arrive à toutes les deux ? ». L’interrogation de Jaime retentit dès lors, apportant avec lui un silence de plomb. Seul le chant des oiseaux s’élevait toujours, tandis que tu penchais un peu plus la tête en contre bas afin d’observer le visage de ton grand-frère. L’allure posée et fière, tu avais toujours vu en Jaime la compréhension et la confiance. D’ailleurs la complicité qui vous unissez depuis ta naissance en témoignait largement. « Dis-lui de me rendre ce qu’elle m’a volé et tout rentrera dans l’ordre ! ». A cette réplique redondante tu soupiras ouvertement, ce qui exaspéra un peu plus la grande brunette. « Je lui ai juste emprunté, Jaime ! ». Le jeune homme de dix ans ton ainé secoue la tête mi amusé mi moqueur avant de désigner l’ouvrage d’un signe de tête. « Rend le lui petit canard, c’est le sien après tout. ». Tu descendis finalement de ton perchoir pour lui rendre son bien littéraire en main propre, Daella te couvant d’une œillade noire avant de repartir sur les traces du chemin qui l’avait amené à te trouver. Le bras de ton frère entoure tes épaules alors qu’il observe ta mine boudeuse et silencieuse à la fois. « Je t’en prêterai moi des livres Callie, des biens plus intéressants que ceux-là crois-moi ! ». Les traits de ton visage se détendent naturellement. Jaime a toujours trouvé les mots pour te redonner le sourire et faire passer les orages de ton ciel. « Peut-être mais elle ne comprend pas l’importance des ouvrages qu’elle peut lire ! ». Ton lien fraternel use d’un rire narquois teinté d’une certaine ironique protectrice avant de te rapprocher de lui comme il le faisait lorsque tu étais encore une jeune fillette. « Les mots ont le pouvoir de changer certaines personnes tu sais Jaime, je ne rigole pas. ». Lui dis-tu très sérieusement. « Je sais petit canard, je sais. ». Il arrivait quelques fois où toi et ton frère parliez avec une rationalité débordante, mais ce qui avait surtout tendance a inquiété ton ainé était le fataliste que tu énonçais.

if you are my love ∞ Les terres de ton enfance sont en effervescence. La venue d’un Seigneur étranger semble provoquer l’euphorie des jeunes filles et la curiosité du peuple avoisinant les terres de ton père. Ce sujet néanmoins ne demeure que le cadet de tes soucis, car bien trop occupé à tes lectures personnelles tu as tendance à en oublier l’importance du moment de la vie présente comme le soulignait très souvent tes géniteurs. La période estivale régnait enfin en digne maitresse, le plafond du ciel d’un bleu azuréen et orné de nuages d’un blanc cotonneux éclaircissait le paysage, te donnant l’impression d’une continuité sans fin. Vêtue d’une cape dont la capuche recouvrait ta chevelure d’un brun soutenu, tu marches d’un pas tranquille dans le long du sentier qui te mènerait à ton point de rendez-vous. La petite clairière qui bordait ton chemin laissait quelque peu filtrait les rayons du soleil, un soleil qui tardait à venir et dont les oiseaux environnant appréciait sans doute la clarté à en juger par leur chant jovial et productif. A l’écoute de la foret dans ton plus simple appareil, tu parviens à entendre des bruits de pas te suivre. Tu te retournes pour observer derrière toi, ton regard scrutant tout autour. Le sentiment de prudence et de rationalité est présent bien enfouit à l’intérieur de ton être. Le bout de tes doigts frôlent le bout de ta baguette alors que silence fait de nouveau profil d’avant de scène. Seul le chant des oiseaux serait témoin de la situation, une situation qui commençait à t’échapper. Une branche finit par craquée sous le poids de ton assaillant, derechef tu te retournes ta baguette magique pointé juste devant lui. La distance entre vous n’est qu’une question de centimètres car seul ton outil magique vous sépare. Tes prunelles limpides et claires se figent sur le visage de ton inconnu. Ce dernier est en réalité une personne que tu connais plutôt bien pour ne pas dire depuis toujours. Ton corps ne bouge pas d’un pouce, alors que Lloyd te couve d’une œillade mystérieuse et complice à la fois. Sa main glisse le long de ton poignet déclenchant au passage un ruban de frisson le long de ton échine dorsale. Sa prise se referme au milieu du creux de ton coude pour te rapprocher de lui, comme si ce geste était une habitude entre vous. Tes pupilles ne le quittent guère alors que son souffle danse sur tes lèvres et que le tien est presque court. « Tu es toujours prudente et à errer dans les bois sauvage, voilà un comportement qui n’est pas digne d’une Lady. ». Sa voix narquoise a le don de te faire sourire quand bien même sa remarque ne te plait guère. Tu n’as jamais apprécié ce statut qu’était le tien, celui d’une Lady où les manières avaient toute leur importance. « Arrête, ce n’est pas drôle ! ». Ton exclamation fit repartir de plus belle le rictus de ton compagnon de toujours. Ses yeux pétillaient d’une malice que tu avais adoré dès l’instant où le jeune forgeron avait croisé ton chemin et depuis vous étiez liés comme personne. Deux êtres humains pour une seule et même entité. Tu baisses alors la tête, tes lèvres pressées l’une contre l’autre. Le brun te relève alors le menton avec douceur, son regard volontaire et apaisant te considérant avec prudence. « Tiens, prend le. ». Te dit-il en te glissant dans la main un étui en cuir. Tu arquas un sourcil interrogateur avant de le prendre entre tes mains pour constater ton idée primaire. Il s’agissait d’un petit poignard ayant exactement adapté à sa prise, à la fois discrète et souple elle était parfaite. Tu reconnaissais bien là le travail de Lloyd, et tu lui rendis un sourire  sincère et ravit. « Juste au cas où … Je dois partir quelques temps pour les affaires de la famille, mais je te promets de revenir très vite. ». La voix de ton interlocuteur était emplit de regrets, mais tout comme toi il avait le sens de la réalité et du devoir pour sa famille. Vous étiez issus de deux mondes différents comme tu le savais si bien, mais peu importe cela n’était pas très important. Tu hoches lentement la tête en souriant avec franchise quand bien même cela n’était qu’une partie de la vérité. « Merci, il est magnifique. ». Dès lors, il fit redescendre la capuche qui recouvrait tes cheveux, sa main caressant ta joue. Il te toise du regard. Le silence, juste avant de venir chercher tes lèvres pour échange tendre et passionné. Une bulle de liberté qui dans toute sa vérité pourrait être fragmenté par la réalité des mots et des lois.
 

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Ta plume est toujours aussi magnifique  C'était très agréable à lire et puis j'aime beaucoup le passage qui introduit Daella et Jaime :bril:Hâte d'en savoir plus sur ce cher Lloyd également